Aujourd’hui, dans la chronique des experts AFNOR, Catherine Moutet, responsable énergie du groupe AFNOR, nous parle d’audit énergétique.

Un gisement potentiel de clients pour les entreprises

Cet audit énergétique provient d’une directive européenne, qui requiert que les grandes entreprises réalisent un audit énergétique avant le 5 décembre 2015. Les entreprises concernées doivent avoir soit plus de 250 salariés, soit un chiffre d’affaires annuel de 50 millions d’euros ou encore, un bilan annuel de plus de 43 millions d’euros. En France, 10 000 entreprises sont donc concernées.

L’idée de l’audit énergétique est d’analyser les consommations énergétiques de l’entreprise et de proposer des améliorations de l’efficacité énergétique. Cet audit demande une certaine expertise, c’est pour cela que ces opérations sont désormais réalisées par des prestataires jugés compétents. Le prestataire en question devra détenir dans ses équipes un référent technique ayant une compétence à démontrer, la maîtriser et être formé à la méthodologie de l’audit.

L'article Audit énergétique : ne passez pas à côté de 10 000 clients potentiels est accessible sur Widoobiz.

Monique Pierson, conférencière et auteur de « L’art du management : en finir avec les idées reçues » aux éditions AFNOR, traite avec nous des erreurs du management actuel.

La confiance et la reconnaissance : les deux potions magiques d’un bon management

Selon Monique Pierson, on managerait « comme on nous dit qu’il faut manager et comme on est persuadé qu’il faut manager ». On peut le voir à travers l’exemple du recrutement. Lors du recrutement, on tient compte de 3 critères : le métier, les compétences comportementales et les valeurs. Parmi ces 3 critères, seul le métier peut être facilement changé. Il y a donc bel et bien une erreur de la part des managers dans l’ordre de priorité des critères. Pour avoir un bon management, Monique Pierson conseille d’apprendre à faire confiance et à faire preuve de reconnaissance. Enfin, elle suggère aux managers d’insister sur les points forts de ses collaborateurs, et non de chercher à tout prix à améliorer leurs points faibles.

L'article Management : pourquoi on se trompe tous ! est accessible sur Widoobiz.

Aujourd’hui, dans la chronique des experts Afnor, Philippe Bourdalé, responsable de la certification ISO 9001 chez Afnor Certification, témoigne des avantages de la certification ISO 9001.

Dans l’esprit de bon nombre d’entrepreneurs, la certification apparaît coûteuse et compliquée à mettre en place. Mais afin d’apporter des garanties et des clés supplémentaires pour se développer sur de nouveaux marchés nationaux ou internationaux, il convient de s’entourer d’expertise et de connaissances.

La certification pour mieux structurer l’entreprise

Philippe Bourdalé rappelle que la certification ISO 9001 est faite pour aider les entreprises à développer leur productivité afin de réaliser des économies de fonctionnement et d’être plus compétitives sur les marchés. Le but de la certification est de mieux structurer l’entreprise.

Cette certification permet de favoriser l’innovation, le travail en équipe et d’augmenter les parts de marchés à l’export. Car il ne faut pas oublier que la qualité est la valeur n°1 des entreprises à l’international !

L'article Certification ISO 9001 : contrainte ou volonté, un accès à de nouveaux marchés est accessible sur Widoobiz.

Aujourd’hui, dans la chronique des experts Afnor, Philippe Bourdalé, responsable de la certification ISO 9001 chez Afnor Certification, donne des conseils pour vous préparer à la certification.

Pour une entreprise, la certification ISO 9001 est l’opportunité de démontrer qu’elle sait très bien accompagner son client de la demande jusqu’au SAV du produit ou du service. Cette certification est un certificat donné pour 3 ans. Chaque année, un audit est réalisé par un auditeur, et à l’issu de celui-ci, l’auditeur remet à l’entreprise une feuille de route qui explique la situation de l’entreprise et qui propose des actions de progrès afin de s’améliorer.

Des clés de succès

Afin de bien se préparer et aborder la certification en toute sérénité, Philippe Bourdalé nous livre quelques clés de succès :  engager la direction dans les orientations de la démarche de certification, s’appuyer sur l’implication des collaborateurs contribuant au quotidien à la qualité du produit ou service et, surtout, ne pas complexifier les bonnes pratiques de l’entreprise.

En ayant une bonne préparation, 99% des entreprises obtiennent leur certification !

L'article ISO 9001 : optimisez vos chances de certification est accessible sur Widoobiz.

De la normalisation à la certification

L'article Lutte contre les faux avis : rassurez vos clients pour mieux vendre en ligne est accessible sur Widoobiz.

A l’heure actuelle, le baratin et le charme ne suffisent plus pour être un bon commercial. Il faut respecter et suivre certaines règles pour créer une vente. Comment s’assurer que ses commerciaux ont toutes les compétences requises ?

Dans cette chronique des experts AFNOR, Alain Jounot, directeur commercial chez AFNOR Certification, nous présente la Certification d’ « Interlocuteur commercial de confiance ».

Des chiffres incroyables mais vrais

Suite à une étude réalisée par AFNOR Certification, Alain Jounot nous indique que « 20% des commerciaux ne comprennent pas le besoin des clients », « 66% ne résistent pas aux objections », et « 15% sont incapables de créer du lien dans une relation commerciale ». Ce constat est quelque peu alarmant et fait ressortir le fait que ,de nos jours, les commerciaux ne prennent pas assez de temps pour écouter leurs clients. Pourtant, il est impératif pour eux de créer du lien avec leurs clients pour créer des ventes.

Certifier les compétences

Conjointement au cabinet FORVENTOR, AFNOR Certification s’est aperçu que la performance de vente passe par le respect et l’application de certaines règles. AFNOR Certification a donc développé une certification des compétences des commerciaux impliquant une formation de 5 jours afin de maîtriser les protocoles de vente, un examen en QCM et enfin, une évaluation sous forme de mise en situation avec des clients mystères afin d’évaluer leur maîtrise des protocoles de vente.

Pour un dirigeant d’entreprise, l’intérêt de certifier ses commerciaux est de voir une réelle amélioration des performances commerciales et économiques.

L'article Vos commerciaux sont nuls, je peux vous le certifier est accessible sur Widoobiz.

En matière d’innovation, les interrogations des entrepreneurs sont nombreuses. Ils se demandent toujours comment trouver LA bonne idée répondant à la demande du marché, ou bien encore, comment insuffler un climat propice à la créativité. Pour répondre à ces questions, des solutions existent.

Aujourd’hui, dans la chronique des experts AFNOR, Alice de Casanove, présidente du comité technique Management de l’innovation co-piloté par AFNOR, nous donne ses conseils pour manager son innovation en utilisant les normes.

Start-up : agile mais fragile

Pour Alice de Casanove, manager son innovation peut s’apparenter au lièvre et la tortue. En effet, la startup est agile mais quelque peu fragile, et le grand groupe est lent, à cause des procédures, mais solide et sûr, grâce à sa carapace. Le meilleur compromis est donc « un lièvre avec une carapace ». Ainsi, on a l’agilité avec des méthodes et des outils et on est capable de prendre, de mesurer et de suivre des risques. Les normes contiennent ces outils et méthodes.

Guide de bonnes pratiques

Participer à un groupe de travail sur la normalisation, c’est échanger sur les ratés et les bonnes pratiques de tous afin de rassembler tous ces éléments au sein de guides (de bonnes pratiques) que sont les normes. La norme est développée par différents partis qui obtiennent un accord et son application est volontaire. Elle est finalement d’une grande aide pour les entrepreneurs dans les décisions importantes qu’ils ont à prendre.

L'article Osez la norme pour innover est accessible sur Widoobiz.

La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) fait partie des sujets dans lesquels les entrepreneurs ont parfois du mal à s’impliquer. Comment une entreprise peut-elle démontrer son engagement en matière de RSE ?

Aujourd’hui, dans la chronique des experts AFNOR, Alain Jounot, directeur commercial chez AFNOR Certification, nous parle de la RSE.

Noter la RSE d’une entreprise

Selon Alain Jounot, une entreprise qui intègre les aspects environnementaux et sociétaux dans son activité quotidienne, peut dire qu’elle fait de la RSE. De nombreuses entreprises recherchent la performance économique et sont par conséquent guidées par les valeurs de la RSE. Mais pour certaines, leur engagement vient du fait de leur fibre humaniste et qu’elles souhaitent mieux comprendre les intérêts d’aujourd’hui, du futur et, à moyen et long terme, de l’évolution de leurs marchés. Afin d’accréditer les entreprises dans leur démarche, AFNOR propose d’effectuer une évaluation. En effet, les entreprises cherchent à se situer sur un baromètre pour savoir si elles font les choses correctement. Pour cela, rien de tel qu’une évaluation notée ! Cette évaluation va permettre de guider l’entreprise en lui désignant ses zones de confort et surtout, ses zones de progrès.

Accompagner le changement

Alain Jounot constate que les entreprises sont peu nombreuses à effectuer cette évaluation. Elles considèrent l’environnement comme une contrainte, alors pourquoi s’engageraient-elles dans une démarche qui constitue une contrainte ? Par conséquent, il faut les rassurer. AFNOR Certification a développé Score RSE pour répondre à la problématique des entreprises n’osant pas se lancer par peur de l’inconnu et à cause de la barrière psychologique et financière. Score RSE fournit aux entreprises un outil d’évaluation en ligne, peu coûteux (moins de 1000 euros), qui leur apporte une certaine crédibilité et une première mesure du niveau d’engagement qu’elles ont en matière de RSE.

L'article La RSE : nouvel outil de marketing stratégique des entreprises est accessible sur Widoobiz.

Lorsqu’un entrepreneur veut mettre en place le lean dans son entreprise, il ne doit pas tomber dans certains travers qui le mèneraient à sa perte. Comment mettre en place la stratégie idéale ?

Aujourd’hui, dans la chronique des experts AFNOR, Jean-Marie Reilhac, expert Lean Black Belt au sein du Groupe AFNOR, parle des stratégies de mise en place du lean.

Deux approches différentes

Jean-Marie Reilhac compare les stratégies de mise en place du lean au lièvre et la tortue. En effet, on constate 2 approches :  le lièvre, illustrant une approche négative en confondant la vitesse, la méthode et la précipitation. Et la tortue, qui illustre une approche positive en prévoyant les choses, en mettant en place des méthodes participatives avec le personnel et en remettant le service au client en temps et en heure.

Une combinaison gagnante

AFNOR se positionne sur le lean responsable par le rapprochement avec ISO 9001, les deux étant complémentaires. ISO 9001 contribue à réguler les pratiques du lean en évitant de tomber dans les travers du lièvre. Enfin, le lean dynamise la démarche ISO 9001 en permettant d’aller plus vite, d’être plus agile et simple.

L'article Lean Management : ce qui vous manque pour réussir à faire mieux est accessible sur Widoobiz.

L’une des problématiques principales de chaque entrepreneur est de trouver du temps pour la structuration de son business. En effet, au milieu de toutes ses responsabilités, le chef d’entreprise doit trouver de nouveaux leviers de croissance pour son entreprise, afin qu’elle existe et persiste sur un marché extrêmement concurrentiel. Aujourd’hui, cela est possible grâce à des outils, facilitateurs du quotidien des PME.

Aujourd’hui, dans la chronique des experts AFNOR, Caroline Richard, responsable développement au sein du Groupe AFNOR, parle d’une solution simple : la bonne utilisation de la norme.

Les clés de succès

Pour résister, les PME doivent allier conformité de leurs produits, maîtrise des risques, optimisation des coûts, affirmation sur le marché ciblé et surtout, innovation ! Les petites entreprises sont très nombreuses sur le territoire français, c’est pour cela qu’il leur est primordial de savoir se démarquer de leurs concurrents. Il est également possible de laisser place à de nouveaux leviers de compétitivité, tels que le développement durable ou encore la qualité. Tous ces éléments permettent d’étendre son activité et pourquoi pas, de se lancer à l’international.

Une solution étonnante

Pour s’en sortir dans l’infernal univers de l’entrepreneuriat en alliant temps et efficacité, il existe un outil simple et indispensable : la norme. Ce guide, créé par des professionnels, permet d’aider les entrepreneurs au quotidien dans leur activité.

Pour arriver à bon port, les startups doivent avancer étape par étape avec la norme et ainsi, accroître leur efficacité en commençant d’abord par la recherche, souvent longue et tumultueuse. Heureusement, le Groupe AFNOR est là pour vous faire gagner du temps grâce à des outils simples d’accès au texte, de partage de documents collaboratifs, de veille, d’analyse ou encore d’auto-évaluation sur les exigences de la norme.

L'article Entrepreneurs : comme les pilotes d’avions, n’oubliez pas votre check-list est accessible sur Widoobiz.

Depuis le 01/01/15, le Droit Individuel à la Formation (DIF) a été remplacé par le Compte Personnel de Formation (CPF). Ce nouveau dispositif devrait faciliter l’accès à la formation. Qu’en est-il vraiment ?

Aujourd’hui, dans la chronique des experts AFNOR, Jean-Pierre Willems, consultant spécialisé sur les questions de formation pour le Groupe AFNOR, décortique pour nous la réforme de la formation professionnelle.

La réforme de la formation professionnelle : une avancée bénéfique à tous.
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Faciliter l’accès à la formation

Cette reforme concerne les entrepreneurs, les salariés et les demandeurs d’emplois. Grâce à elle, les TPE accèdent plus facilement aux financements de leurs organismes de cotisation. Les salariés, quand à eux, cumulent le solde de leurs compteurs DIF et CPF.

Les employeurs doivent tout de même respecter des obligations en contrepartie des financements.

Un réel changement pour les professionnels de la formation

La certification de toutes les formations est dorénavant demandée aux professionnels de la formation. De plus, l’année prochaine, pour continuer de bénéficier des tiers payant, ils devront eux même être certifiés en tant qu’organisme.

Le groupe AFNOR propose déjà des formations débouchant sur des certifications reconnues.

L'article Formation Professionnelle : un marché régulé, des TPE favorisées est accessible sur Widoobiz.

Aujourd’hui, Dominique Mougin, chef de projet formation certifiante et diplômante chez Afnor, est au micro de Widoobiz afin d’évoquer un problème qui arrive à toute entreprise : les départs d’un collaborateur et donc, la perte de compétences. Le recrutement est la première solution qui nous vient à l’esprit toutefois, embaucher en externe nécessite du temps et de l’argent. Dominique Mougin nous propose des solutions.

Recruter en externe peut s’avérer un échec

Lorsqu’un profil compétent quitte l’entreprise, le premier réflexe est de chercher de nouveaux candidats en externe afin de combler le poste. Selon Dominique Mougin, ce n’est pas une sage décision : une fois le salarié trouvé après divers entretiens, il est nécessaire de le former et de l’intégrer dans l’entreprise. Cependant, quelques jours plus tard, on s’aperçoit que la personne ne correspond pas du tout au poste : résultat, du temps volé en éclat et une somme importante jetée par la fenêtre. Pour ne pas perdre votre temps, il est important d’anticiper en recrutant en interne.

Avant toute chose, chercher en interne

Dominique Mougin énumère tous les avantages du recrutement en interne : un salarié en interne est susceptible de s’adapter très vite au poste puisqu’il connait déjà l’entreprise, sa stratégie et son image. Il est possible que le profil interne ne soit pas en adéquation parfaite avec le poste à pouvoir, alors pas de panique : de nombreuses formations existent afin d’apporter les compétences nécessaires à avoir pour qu’il s’accoutume le poste.

L'article Formation professionnelle : ce que vous ne savez pas sur vos salariés ! est accessible sur Widoobiz.

Comment appréhender les complications dans son entreprise et effectuer un travail complet, sans se plier aux règles des grosses entreprises, dans un marché en plein essor et pourtant presque saturé : celui de la e-cigarette ?

Aujourd’hui, Jean Moiroud, président de la Fivape et fabricant de e-liquide, est au micro de Widoobiz afin d’évoquer l’implant de son entreprise dans un marché de géants : celui de la e-cigarette. Ce marché à 400 millions d’euros de chiffre d’affaires est très régulé et deux normes AFNOR sont nées.

Les commissions de normalisation

« De l’échange doit naître un consensus ». Tous les partis concernés par ce secteur d’activité se réunissent et participent à des commissions de normalisation AFNOR, afin que les normes volontaires représentent la réalité des métiers de la vape en France : le fabriquant de e-liquide, celui du matériel, le fabriquant d’arômes, les laboratoires d’analyses, l’Institut National de la Consommation, sans oublier l’industrie du tabac, etc.

L’intérêt des commissions de normalisation est de faire valoir les positions des PME
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Et les petites entreprises ? 

Selon Jean Moiroud, ces commissions ont un réel intérêt pour les entreprises puisqu’elles sont ouvertes et que toute entreprise, quelle que soit sa taille, peut y faire valoir ses positions. Il est donc essentiel de s’y rendre afin de ne pas se laisser imposer des méthodes de travail non applicables dans une petite structure.

L'article Les pros de la e-cigarette normalisent leur marché, et vous ? est accessible sur Widoobiz.

Jérôme Décima, directeur de l’entreprise éponyme nous raconte aujourd’hui comment la norme ISO 9001 a sauvé son entreprise.

Et si la norme était la solution ? En difficulté il y a 20 ans, Décima a réussi à remonter la pente grâce à la certification ISO 9001. « La norme nous a permis de nous structurer en interne pour remettre les salariés dans leur métier. Le cadre leur a permis de se réinventer. De cette manière, chacun évolue ce qui amène de la croissance à l’entreprise », raconte Jérôme Décima.

Et cette évolution se constate aussi en externe. « Le fait de coller à cette norme nous apporte plus de crédibilité vis-à-vis de nos clients potentiels. On a conquis de nouveaux marchés car quand on va proposer nos services, on parle désormais le même langage qu’eux et on peut leur dire : « regardez, on travaille comme vous » », explique-t-il.

#Replay : Son entreprise n’a pas besoin d’être sauvée mais sa fulgurante ascension mérite le détour. L’interview guest de Damien Morin, fondateur de Save c’est par ici :

L'article Startups : n’ayez pas peur de la norme est accessible sur Widoobiz.

Nul besoin d’être un amateur de football pour constater que l’Euro 2016 est lancé. À cette occasion, Mohamed Trabelsi, chef de projet en normalisation chez AFNOR nous décrypte toutes les normes volontaires qui transforment les matchs de football en véritable spectacle.

Avez-vous déjà suivi un match de football sans voir le ballon ? C’est grâce à de nombreuses normes que le football est parfois si agréable à regarder. « La longueur de la pelouse par exemple est une des normes volontaires qui permet de voir le ballon. La qualité de l’éclairage garantie également aux spectateurs et téléspectateurs d’assister à un vrai spectacle », explique l’expert AFNOR dans cette interview.

Des normes volontaires qui sont basées sur la coproduction d’une manière consensuelle. « On invite tous les acteurs du marché à travailler ensemble pour proposer des solutions adaptées », poursuit Mohamed Trabelsi.

L'article À quoi ressembleraient les matchs de football sans les normes volontaires ? est accessible sur Widoobiz.

Dans cette nouvelle chronique, Isabelle Jouanin-Périn, Responsable du département inter-développement chez AFNOR Compétences nous éclaire sur le passage du e-learning au digital learning.

Le E-learning se transforme en digital learning. « Le E-learning c’était essentiellement dans les années 2000 avec la mise en œuvre de vidéos pour développer ses compétences. Mais on s’est vite rendu compte qu’on avait encore besoin de formateurs et d’humains », explique l’experte dans cette vidéo.

Du plaisir dans l’apprentissage

Désormais, les entreprises et salariés adoptent le digital learning. « C’est un mélange de vidéos, serious games, quizz. Ça permet de remettre du plaisir dans l’apprentissage. On apprend mieux », assure-t-elle.

Un conseil : pensez à vérifier la notion de respiration pédagogique, comme le développe Isabelle Jouanin-Périn dans cette chronique.

#Replay : Avant de former ses salariés, le Startupper doit trouver des fonds. C’est juste ici dans l’épisode 3 :

L'article Le E-learning est mort est accessible sur Widoobiz.

Si les normes sont un véritable enjeu pour les entreprises, AFNOR vient de lancer un nouvel outil pour les aider. C’est ce que nous explique Anh-Thi Ho Chi, chef de projet chez AFNOR Éditions dans cette nouvelle chronique.

Le saviez-vous ? Chaque année, 2000 normes sont publiées. Mais, 2/3 d’entre elles sont révisées. Un véritable enjeu pour les entreprises. « Ce n’est pas facile de s’y retrouver. C’est un véritable travail qui prend du temps au sein d’une société », indique la chef de projet.

« En général, on imprime les 2 normes, celle en vigueur et celle qui a été annulée puis on compare paragraphe par paragraphe, image par image pour repérer les modifications. Ensuite on met en place un plan d’action pour se mettre en conformité », explique-t-elle.

Mais, bonne nouvelle pour les entreprises : AFNOR vient de lancer un nouvel outil de comparateur de normes qui risque de changer la donne comme l’explique l’experte dans cette vidéo.

#Replay : Il devra peut-être se pencher sur la question un jour. En attendant il cherche des fonds. Le Startupper#3 c’est par ici :

L'article Attention : une norme peut en cacher une autre est accessible sur Widoobiz.

Dans cette chronique d’AFNOR, Pierre Deplanche, professeur à l’Université de Bourgogne explique pourquoi les PME doivent imposer leurs vues dans les comités normatifs.  

Toutes les entreprises vont devoir s’y mettre. Afin d’avoir la même définition, l’ensemble des organismes sont en train de se mettre d’accord sur le concept de Management de l’innovation. « Compte tenu que nous sommes dans une course à l’innovation, cette norme va décider de beaucoup de marchés », explique Pierre Deplanche, professeur en intelligence économique à l’Université de Bourgogne.

Une norme qui n’a pas fini cependant d’être discutée. Il faut du temps pour que tout le monde s’accorde. Une chose est certaine cependant : il ne suffira plus de déposer un brevet pour être reconnu comme une entreprise innovante. Différents paramètres seront à prendre en compte. Et ce sera comme la norme 9001. Ne pas s’y réglementer fermera l’accès de certains marchés aux entreprises.

Les PME doivent réinvestir les comités normatifs

Aujourd’hui, ce sont les grandes entreprises, les universitaires, les cabinets de consultant qui participent aux travaux d’élaboration de cette norme. Les PME sont presque totalement absentes du débat. Elles auraient pourtant beaucoup de choses à y gagner. « Quand vous êtes dans une commission internationale ou européenne, vous avez la quasi-totalité des parties prenantes. Vous vous nourrissez d’informations que vos concurrents n’ont pas », rappelle Pierre Deplanche.

Surtout, en restant dehors des discussions, les PME françaises n’ont plus l’influence nécessaire. Il suffit de prendre l’exemple de la prise électrique. Malgré l’avance technologique de la France, l’Allemagne a réussi à imposer « son » modèle de prise pour voiture électrique. « Nous n’étions pas là où il le fallait et nous avons été déficients en lobbying et en influence », souligne l’enseignant.

Autrement dit, les PME doivent réinvestir les comités normatifs. « C’est de l’investissement, cela s’appelle de la stratégie ». Et ça, c’est fondamental.

#Replay : vous pouvez retrouver une autre chronique AFNOR sur la formation professionnelle : 

L'article Innovation : la norme se fera peut-être sans vous est accessible sur Widoobiz.

A l’occasion du salon des services à la personne, AFNOR Certification lance le label Testé et approuvé par les seniors.

Ne passez plus à côté du marché des seniors. AFNOR Certification lance un label sur les produits conçus en tout ou partie pour les seniors. La particularité du label ? Il est le seul à faire tester les produits en situation par des utilisateurs seniors et des ergonomes/ergothérapeutes. « C’est la volonté de notre part de s’ancrer dans la réalité du quotidien », explique Barbara Jamault, responsable de la Silver Economie chez AFNOR Certification.

Avec ce label, AFNOR Certification veut créer un lien de confiance entre les consommateurs et les marques labellisées. Il faut vraiment « que le senior puisse comprendre en voyant cet emballage que ce produit a été évalué par ses pairs », précise Barbara Jamault.

Silver Economie : un label pour capter les opportunités
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Aider aussi les entreprises qui n’ont pas réussi à obtenir le label

Et pour ceux qui n’obtiennent pas le label, tout n’est pas perdu, au contraire. Elles « bénéficient d’un rapport d’évaluation qui permet d’avoir une vision vraiment intéressante à la fois des points forts et des points faibles identifiés par les seniors » et les experts, explique Barbara Jamault. De quoi améliorer leurs produits et de préparer les innovations de demain.

Les opportunités sur le marché des seniors sont nombreuses. Les produits labellisés couvrent d’ailleurs de nombreux domaines : de la colonne de douche aux objets connectés.

L'article Silver Economie : un label pour capter les opportunités est accessible sur Widoobiz.

Myriam Augereau-Landais, Directrice Internationale pour le groupe Afnor nous donne les clefs pour bien choisir son organisme de certification, et ainsi, mettre toutes les chances de son côté pour exporter son entreprise. 

« La certification c’est compliqué. Ça coute cher ». Faux. « La certification ne nécessite pas un gros investissement. En revanche, ça prend un peu de temps, car il faut mettre en place un système de management de la qualité et embarquer dans ce projet l’ensemble des collaborateurs », explique l’expert dans cette chronique.

+7% de CA à l’export pour une entreprise certifiée

Une certification qui comporte plusieurs intérêts. « Ça permet d’améliorer la performance de son entreprise en faisant par exemple monter les salariés en compétence. L’entreprise peut donc espérer gagner en compétitivité. Il y a également un intérêt externe pour l’entreprise. Des études ont montré que les entreprises certifiées augmentent en moyenne leur part de CA à l’export de 7% », ajoute-t-elle.

Avant de passer à la certification, Myriam Augereau-Landais met cependant en garde quant au choix de l’organisme de certification : « Il doit être accrédité et avoir des auditeurs performants ».

#Replay : Et sinon, Le Startupper a un petit quelque chose à vous dire : 

L'article La certification : votre passeport pour l’export est accessible sur Widoobiz.